Sujet : Un article paru dans une revue littéraire reproche aux poètes de privilégier des thèmes sérieux et graves. Vouss répondez à cette article par une lettre destinée au courrier des lecteurs de cette revue.

Rédaction du journal "Le littéraire d'hier et d'aujourd'hui"

13 rue de l'organisation,

Illusiopolis

Cette lettre s'adresse au rédacteur de l'article "guide du petit poète" mais aussi aux lecteurs de ce journal,

Je me dois dire que je désapprouve (et le mot est faible) votre ramassis d'inepties que vous osez appeller "guide". Il y a  notamment un moment en particulier où vous dite, je cite : "Une poésie se doit d'être légère, nous faire nous envoler paisiblement au dessus d'une vie pleine de tracas et de problèmes, pas nous enfoncer encore plus en nous martelant des déboires du poète !" A ceci, je vous répondrais simplement : Vous ne pourriez pas être plus loin de la vérité ! Durant ma démonstration de votre erreur, je m'étendrais aussi sur les autres médias, montrant qu'ils sont tous reliés par un même lien de base de création.

La poésie est avant tout une expression. Expression des sentiments, aussi mauvais soient-ils, expression d'une vie, aussi dérangeante soit-elle. Mais surtout, le poème est le confident du poète, il lui confie ses souvenirs, sa vie entière, bon comme mauvais moment. Je rajouterais aussi une petite phrase de mon cru : "Il n'y a de l'âme dans le poème que si il y a du poème dans l'âme". Or, imaginons que vous retirez au poète son droit d'exprimer ce qui opresse son âme, vous perdez la partie vivante du poème et vous n'obtenez plus qu'une pâle marionette répétant un discours digne d'un enfant qui dirait : "le bonheur c'est le bien et le pas bonheur c'est le pas bien" (Oui le "pas bonheur" puisque d'après votre article toute trace de mal doit être éffacé du poême)

Je vous concéderais cependant un point, c'est de ce genre de phrases que des chanteurs actuels comme Tal ou Indila ont remplis leurs chansons et qu'elles sont très en vogue en ce moment. Mais petite question, quelles traces laisseront-elles ?

Elles seront en effet oubliés aussi vite qu'elles ont été connus et n'auront pas laissés d'impact en secouant les auditeurs comme d'anciens grands paroliers ont su le faire comme par exemple Jacques Brel et son mythique "Ne me quitte pas" c'était ce qu'il avait dans l'âme et la chason a pris possession de cette âme, la fait sienne et reste vivante encore aujourd'hui grâce à celle-ci.

Mais cette revue est littéraire, ainsi mon raisonnement ne serait pas complet sans citer de littérature ! Mais avant de reparler des poèmes, je vais d'abord m'accorder un crochet par le cinéma et les livres. Ainsi, je citerais le principe du "Happy End" et du "They live happily ever after" ce même procédé que vous citez dans votre article et qui peut être résumé par : Tout doit finir bien dans le plus heureux des mondes, les oiseaux doivent chanter et il doit y avoir un arc-en-ciel dans l'arrière plan !

Seul soucis, ce procédé est vieux de quelques siècles et a été usé jusqu'à la trame à un tel point que l'on voit les ficelles scénaristiques dans les films quand les scénaristes veulent être "Subtils". Et ainsi en va de même pour le livre, le lecteur est las des fins heureuse, las que tout soit toujours rose, il lui faut un petit goût amer dans la bouche ! Prenons en exemple la série des livres "Le Trône de Fer", l'auteur crée un héros bâti pour plaire au public, lui fait un joli cadre, et soudain, détruit tout, traîne son personnage dans la boue et va même parfois jusqu'à le faire mourir puis recommence avec un autre héros. Pourtant, est-ce que le spectateur s'en va, dégoûté par ça ? Non, il reste et en redemande ! Son héros préféré est mort, le monde qu'il aimait est ravagé, tant mieux ! c'est ce qui lui manquait dans la littérature, un livre où tout n'est pas rose !

Pour finir, je reviendrais sur la poésie, et je prendrais pour exemple Victor Hugo, ces poèmes sont mémorables car révélateur de son âme, ils laissent une marque au fer rouge au lecteur car ils ont marqués au fer rouge l'auteur. Ce n'est pas en chantant la beauté que Victor Hugo s'est fait connaître et reconnaître, c'est en chantant la laideur de la vie !

Pour conclure, je rajouterais que la poésie se doit d'être à l'image de la vie, des moments de joie mais aussi et surtout des moments de peine et de tristesse. Il ne faut pas qu'un aussi beau support que la poésie ne devienne un simple déversoir à niaiserie naïve comme le devient de plus en plus, malheuresement, le monde de la chanson.

En espérant vous avoir fait comprendre l'étendue de votre erreur,

The Doctor

who ?

Voilà, comme l'indique si bien le titre, il s'agit de l'écriture d'invention que j'ai faite au bac, alors ce n'est pas tout à fait la même vu que y'avait une partie d'impro dans mon texte, mais la plupart y était (surtout le passage du "pas bonheur", fier de l'avoir casé ça o/) J'avais aussi signé THE DOCTOR en plus stylisé et le "who ?" est glissé discrétement mais assez visiblement dans la signature.

Voilà, je dois avouer que j'ai un peu peur d'avoir fait Hors-Sujet, je mettrais la note en Edit dès que je l'aurai *croise les doigts* d'ailleurs, si ça vous amuse, vous pouvez me mettre une note sur 16 xP

Btw, peut être que je mettrais d'autre écritures que j'ai fait dans l'année sur le blog avec toujours le sujet précisé bien sûr ^w^

As-tu jamais senti cette ombre qui te suit ?

Seul, discrète et silencieuse pour toi comme la nuit,

Elle te suit, ne l’as-tu donc jamais remarqué ?

Pourtant, elle est bien là, regarde là de près,

Alors que te tournaient le dos tout tes « amis »,

Ne te jugeant pas pour ce que tu as commis,

Elle te suit, ne l’as-tu donc jamais remarqué ?

Pourtant, elle est bien là, regarde là de près,

Elle t’a toujours accompagné mais malgré tout,

Tu ne lui as donné que mépris et c’est tout,

Retourne toi donc avant qu’il ne soit trop tard,

Car même elle un jour détournera le regard.

Tout ce qu’elle veut c’est un visage disant merci,

Un petit sourire, que sa peine soit adoucie

Retourne toi donc avant qu’il ne soit trop tard,

Car même elle un jour détournera le regard.

Han le 13ème poème un vendredi 13 :O

Bon, je crois que c'est plus vraiment la peine que je m'excuse pour mon absence, parce qu'on sait tous désormais que je vais refaire le coup après ce poème x3 N'hésiter pas à me donner votre avis pour ce poème dans les commentaires ou sur Twitter et partager, ça fait toujours plaisir :3

Toujours les couteaux sont présents là dans le noir,

Attendant que l'on soit seul et abandonné,

Nous poignardant lorsque l'on a le dos tourné,

Nous laissant mourant et sans aucune once d'espoir.

Ami, ne laisse jamais tomber ce que tu aimes,

Car qui pourrait savoir qui serait leur prochaine cible,

Le poursuivant même dans les coins les plus paisibles,

Ami, fais toujours de l'amitié ton totem.

Doooooooooonc.... Voilà le poème que j'avais dit que je posterais dans pas longtemps (non non ça fait pas 2 mois >.>) Doooooonc à nouveau, je suis désolé et tout le tsoin tsoin (Bac à réviser, flemme de se connecter, problème de co etc...) x3 Bon lacher des commentaires, des ce que vous voulez, des vents même si vous voulez xD

Btw, si vous avez une image à me proproser je suis pour ^w^

Il est vrai que l'on dit souvent de l'IVL

Que c'est un monde virtuel et donc non réel

Mais il est aussi vrai que c'est de l’irréel

Que peuvent venir dans ce monde les choses les plus belles

Alors, je sais, ça fait très longtemps et je reviens avec un tout petit poème de rien du tout mais bon hein xD

Ce poème là je l'ai écrit avant noël mais j'ai mis longtemps avant de le poster car j'ai toujours hésité à l'allonger ou pas pour au final ne pas y apporter de retouches (ce qui, je vous l'accorde, n'aura donc servi à rien x3)

Pour le petit truc, je bosse actuellement sur une série de "nouvelles" un peu particulières (je verrai si le projet peut tenir la route) et vous aurez bientôt un deuxième poème :3

Valà je crois que c'est tout... Ah oui, je vais me servir de ce poème pour partager mon blog sur facebook, donc à tout ce qui auront suivis le lien: Bienvenue o/

Source d'inspiration principale : @SonateVal et tout mes amis de twitter en général :3

 Les seuls bruits que j'entends sont ma respiration et ses bruits de pas. Un noir intense règne dans la pièce. Je m'étais caché sous une estrade et à présent j'essaye de calmer les battements de mon cœur. Je fais trop de bruits, trop de bruits, il va finir par me trouver. J'avais à peine eu le temps de me dissimuler ici que déjà 2 de mes amis s'était fait avoir. Mince les bruits viennent vers moi, je dois me calmer, je dois être calme. Voila, voila minimum de bruits... Ah ça y est les bruits s'éloignent, je peux me détendre un peu plus. J'entends sa voix près de moi, il parle d'un ton calme et assuré avec une joie à peine dissimulé "je vous trouverai" nous assure-t-il puis à nouveau le silence se remet à régner rythmé seulement par les bruits de pas.

Et puis soudain un nouveau bruit et un cri de peur s'élève. Je reconnais cette voix, ça y est Sarah s'est faite attrapé aussi... Nous ne sommes plus beaucoup, coincé dans ce bâtiment à attendre, avec un infime espoir qu'il ne se lasse avant de nous attraper. Ah, il doit être en train de monter à l'étage, je vais essayer de me mettre de manière plus confortable à l'intérieur de cette cachette exiguë, je ne sens plus mon bras à force de m'être contorsionner... La sueur perle sur mon front, je crois que je comprends enfin le terme de sueurs froides. Et pourtant, j'ai si chaud, serré dans cet endroit dans la chaleur étouffante du bâtiment dû à l'été. Et moi qui n'aime pas le noir en général, là je suis servi : impossible de voir plus loin que son bras. Mon cœur se remet à accélérer, calme toi, calme toi ! Je devrais peut être fredonner une chanson que je connais bien pour me rassurer un peu... « I only want you gone » est la première qui me vient en tête, quelle ironie... Je ressens soudain une envie nerveuse de rire, libérer le stress, tant pis si il doit me trouver, de toute façon il y arrivera à un moment ou à un autre.

Il redescends ces escaliers il se rapproche à nouveau. « Qu'espérez-vous ? Je vous attraperez et vous le savez ! » Toujours il répète cette phrase... Arrête, arrête !

Kling kling ! Quelqu'un est en train de faire tomber des pièces de monnaie, je viens de me rappeller que j'ai des poches troués, j'espère que ce n'est pas de moi que viens le bruit... Je vais vérifier. Je dois essayer d'être silencieux, et merde la caisse ! Il a dû l'entendre tomber... Je crois que s'en ai fait de moi. Ca y est, il s'approche. Tant pis je sors ce n'est plus la peine de rester cacher.

« Bravo Philippe tu était le dernier caché ! » Je souris à cette nouvelle, c'est la première partie de cache cache dans le noir avec mes amis que je gagne.

Elle est toujours là, à l'écoute de ses amis
Loyale et fidèle avec tout ce qu'elle aime
Or elle ne fera jamais les choses à demis

Il faut savoir que je met mon coeur dans ses vers
Seulement aujourd'hui je pourrai te le déclarer
Eloïse je te souhaite un bon anniversaire

Voila, j'ai fait ce poème pour @_Eliiday_ ou Eloïse (Ow, les premières lettres forment le nom Eloïse, COINCIDENCE ? 8D Bah non bande d'idiots :P) A part ça, je sais bien qu'il n'a pas énormément de sens mais le plus important c'est que je l'ai fait pour elle avec le coeur car c'est une personne formidable et extraordinaire <3 <3

Et voici deux âmes vibrant au même diapason,

Un amour fort sans possible comparaison,

Qui colore d'un bleu azur tout leurs horizon,

Bien plus solide et stable que toutes les maisons.

D'un parfum plus doux que les fruits de la passion,

Tout aussi beau et coloré qu'un papillon,

Créant une douce mélodie tel un carillon,

Précieux destinataire de toutes les attentions.

Donc voilà, pour ce poème je me suis inspiré du couple de @Koto_kuro et de @Chobits002 Au final vous me direz que c'est un poème bateau mais bon x) Je suis conscient qu'il n'est pas extraordinaire, loin de là mais bon, on pourra aussi dire que c'est un poème prématuré qui aurait peut être mérité plus de finitions... En tout cas merci d'avoir pris le temps de le lire ^^

Il n'est de plus grand bonheur que de rendre heureux ses amis...

J'ai entendu cette phrase un jour, je ne sais plus où ni comment, rendre heureux ses amis... Encore fallait-il en avoir.

Je m'appelle Adrien, je suis né dans une famille riche, j'ai tout pour moi, dès que je veux quelque chose, on me l'offre dans l'heure qui suit. J'ai tout pour moi, ou presque. Il me manque une seule chose dans ma vie... De vrais amis.

Bien sur j'ai des "amis", des gens attiré par ma fortune comme des mouches autour d'un cadavre en décomposition. Mais cette nuit, au-dessus de ce pont, ils ne me servent à rien.

Bon j'imagine qu'il ne me reste plus qu'a sauter, mes parents sont toujours en voyage, je ne sais même pas s'ils se rendront compte que j'ai disparu. Mes "amis"me pleureront surement un peu, comme ils pleureraient s'ils avaient perdus au loto.

Allons-y... 3...2....

"Mon...sieur ?"

J'arrêtais mon geste. Cette voix de petite fille... Non, non ce ne devrait être qu'une illusion. Je me repréparais à sauter

"M-mon...sieur ? Qu'est ce que vous faites ?"

Je m'arrêtais à nouveau, je regardais à droite, à gauche et puis soudain je la vis. Une petite fillette qui était là, elle devait avoir à peine 9 ans.

"Qu'est ce que tu fais ici ?"

"J-je me suis perdue"

Elle avait les larmes aux yeux et elle serrait dans ses bras un petite ourson en peluche. Elle était pieds nus et vétue d'une simple chemise de nuit blanche, elle frissonait et avait les lèvres bleuis par le froid.

"Mais tu dois mourir de froid habillé comme ça !"

"U-un peu"

"Et où sont tes parents ?"

"J-je..."

Elle s'effondra au sol, en larmes. Je quittait le rebord du pont et m'approchait doucement d'elle.

"Allons, allons, tout va bien maintenant, je suis là"

Je la serrait dans mes bras et lui carressait les cheveux puis je lui demandait avec un sourire réconfortant.

"Comment t'appelles-tu ?"

"J-je m'appelle Elpida..."

"Drôle de nom"

"J-je sais, on m'a dit que c'était grec.."

"Voila qui explique tout"

La tenant toujours dans mes bras, je me relevais et je l'emmenais avec moi.

"Ne t'en fais pas, tu ne seras plus seule maintenant."

La scène se passe en 1850 à Moscou sous un balcon. Nicolas lance des cailloux sur la fenêtre de Nathalie

Nicolas à voix basse : Nathalie ! Nathalie !

Il brise la fenêtre mais n'ayant pas entendu le bruit, il continue de lancer des cailloux

Nathalie d'une voix endormie : Arrêtez ! Arrêtez ! Je suis réveillé !

Nicolas Embarassé : Je suis désolé d'interrompre votre doux sommeil, mais 

prenant une grande inspiration 

Tel Ulysse loin de sa Pénélope, je n'en pouvais plus de rester loin de vous, de votre doux sourire, de vos yeux, ces saphirs scintillants...

Nathalie : Mais qui parle ?

Nicolas : Rien, personne, juste la voix d'un homme rongé par le feu d'un amour dévorant !

Nathalie : Continuez, je vous prie.

Nicolas A lui même : Où en étais-je déjà ? Ah oui !

Reprenant à voix haute

Loin de ces saphirs scintillants, de votre visage radieux ! Et si Aphrodite devait être incarnée ici-bas, elle prendrait votre apparence car on ne peut décrire la beauté tant que l'on ne vous a pas vue et je vous implore de m'accorder votre amour.

On entend soudain du bruit et une voix d'homme

La voix sévère : Cessez d'importunez ma fille de la sorte

Il commence à tirer des coups de feu

Nicolas s'enfuyant éffrayé : Aaaah ! au secours ! On veut me tuer !

Fin de la scène

P.S: Voila, c'est la deuxième et sûrement dernière partie des "Ecrits d'un 4ème" (Qui sait, je trouverai peut être d'autre textes en rangeant mieux mes affaires de 4ème ^^) Comme vous pourrez le constater, c'est très court, inspiré de Roméo et Juliette/Cyrano de Bergerac... Mais bon j'ai une excuse, j'étais en 4ème et c'était pour une simple écriture d'invention x)

Voila, n'hésitez pas à me faire parvenir vos retours, ça me fai toujours plaisir o/

Tel un papillon qui va ouvrir une fleur

Qui en retour lui donnera des ailes

Moi je suis venue pour ouvrir son coeur

Elle en retour m’a donnés des rêves éternelles

Tel une déesse elle m’apparut

Cet amour après lequel j’ais tant couru

Toute la nature s’émerveillait

Devant cette beauté inégalé

Tels le poisson et l’oiseau

Que séparent ciel et eau

Nous, deux êtres opposés

Pourrions nous rassemblé

Elle qui avait des cheveux d’or

Je lui promit une éternité sans mort

En la chantant dans mes vers

Elle m’offrit une fleur sans vers

Je précise, ce poème je l’ai écrit en 4ème, il y a donc 4 ans maintenant, (Rah ça me fait me sentir vieux de dire ça D:) et c’était mon tout premier donc vous excuserez les quelques idioties qu’un enfant perdu dans les affres de la poésie peut faire x)